... profit réel, produit par le commerce, elle n'en fit jamais. Elle ne donna, pendant soixante ans, pas un seul dividende du débit de ses marchandises. Elle ne paya ni les actionnaires, ni aucune de ses dettes en France, que de neuf millions que le... Historisches Taschenbuch - Page 1711856Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Voltaire - 1821 - 528 pages
...ses dettes en France, que de neuf millions que le roi lui accordait par année sur la ferme du tahac; de sorte qu'en effet ce fut toujours le roi qui paya pour elle. , Il y eut quelques officiers militaires de cette compagnie, quelques facteurs industrieux qui acquirent... | |
| Friedrich Ludwig G. von Raumer - 1856 - 716 pages
...¡Dioibenbe »on iferem $anbel gegeben; líe bak »ebet bie ïctionire поф bie ©фи1Ьеп besafe.lt, „de sorte qu'en effet ce fut toujours le roi qui paya pour elle". JReçnal, ©e= f<fcid>te ber SBefïiungen ber (Surcpaer in beiben Snbien (Sempten 1784), II, 368. »er... | |
| Voltaire - 1860 - 552 pages
...ses dettes en France, que de neuf millions que le roi lui accordait par année sur la ferme du tabac; de sorte qu'en effet ce fut toujours le roi qui paya pour elle. 11 y eut quelques officiers militaires de cette compagnie, quelques facteurs industrieux qui acquirent... | |
| Voltaire, André Versaille, Emmanuel Le Roy Ladurie - 1994 - 1422 pages
...ses dettes en France, que de neuf millions que le roi accordait par année sur la ferme du tabac ; de sorte qu'en effet ce fut toujours le roi qui paya pour elle. Il y eut quelques officiers militaires de cette compagnie, quelques facteurs industrieux, qui acquirent... | |
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